En principe, chaque personne qui pense que ses droits, tels qu’ils ont été définis sous la Convention Européenne des Droits de l’Homme, ont été violés peut porter une plainte urgente. La violation des droits doit encore être d’actualité au moment de la plainte. De plus, il doit y avoir un “risque réel de dommages irréparables”, qui peuvent avoir trait à l’intégrité physique, mentale ou financière.
Cependant, notre équipe juridique ne peut soutenir que les personnes logés dans les camps de réfugiés de l’île grecque de Samos. Notre expérience nous a montré que les demandes de mesure provisoire n’aboutissaient que pour les cas ou il y’avait des vulnérabilités prononcées, par exemple pour les femmes enceintes, les mineurs non accompagnés, les personnes âgés et les personnes souffrant de maladies graves.
En élargissant notre coopération avec les professionnels et ONGs sur le terrain, nous espérons être capable de soutenir plus de personnes dans le futur.